Qui sommes nous ?

En 2009, peu après la reconnaissance des langues régionales dans la Constitution française, les six réseaux d’établissements scolaires associatifs par immersion en langue régionale se sont regroupés en association pour faire reconnaître cette immersion linguistique. 

Sébastien Haydn, président de Bressola et Eskolim, Karine Sarbarcher, présidente d’ABCM Zweisprachigkeit, Joseph Turchin, président de Scola Corsa, Jean-Louis Blenet, président de Calandreta et l’ISLRF, Jorajuria, président de Seaska. Yann Uguen, président de Diwan.

Eskolim est constitué de :

   – Seaska en Pays basque (4 064 élèves, 38 ikastola)

   – Bressola en Catalogne (1 048 élèves, 9 établissements)

   – Diwan en Bretagne (4 034 élèves, 56 établissements)

   – Calandreta en Occitanie (3 906 élèves, 71 calandreta)

   – ABCM-Zweisprachigkeit en Alsace-Moselle (1 167 élèves, 12 écoles)

   – Scola Corsa en Corse (25 élèves, 2 écoles)

En décembre 2016 à Biarritz, Eskolim a signé avec le Syndicat national des radios libres (SNRL) une convention sur l’apport éducatif des radios, avec un focus sur la réalité socio-linguistique et culturelle des langues de France.

Peu avant la rentrée 2019, le quotidien Le Monde a publié une enquête d’une page sur nos écoles par immersion en langue régionale qui manquent de moyens et « craquent sous la demande ». 

Déclaration de Ciboure le 8 février 2009

« Les cinq fédérations d’écoles associatives, ABCM-Zweisprachigkeit, Bressola, Calandreta, Diwan, Seaska, formalisent Eskolim en association loi de 1901. Elles s’y exprimeront, d’une seule voix, dans l’espace des langues (alsacien-mosellan, basque, breton, catalan et occitan) et de l’enseignement.

« Ils demandent que la voie qui conduit les élèves au bilinguisme grâce à l’immersion soit définie et reconnue comme une liberté pédagogique. 

« Ils veulent qu’une loi officialise les langues qui sont au centre de leur activité d’enseignement et demandent la mise en place d’une véritable association entre les collectivités territoriales et l’Etat pour gérer la responsabilité de ce domaine des langues patrimoniales. »